Ce trio « issu », si l’on peut dire, du MegaOctet a pour lui l’avantage de la connivence. La maturité et l’assemblage, patiemment élaborés au fil des concerts, donnent ici sa cohérence à une musique hors du temps. On y retrouve l’énergie rock débridée et les thèmes fracassants du MegaOctet, le temps suspendu des solos d’Emler, la nostalgie lumineuse de l’univers de Tchamitchian, la précision classique d’Echampard. Et à chaque instant, cette force olympienne du silence. Un silence qui se glisse entre les notes, précède les attaques et ponctue les phrases. Un silence en or. (Matthieu Jouan / Citizen Jazz)
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