PLAYLIST DU 17 JUIN 2011 HISTOIRE(S) ET ACTUALITE(S) DU JAZZ + FOCUS SUR ANDREA CENTAZZO |
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Artiste
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Titre
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Source
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Année
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Label
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Bruno ANGELINI / Mauro GARGANO / Fabrice MOREAU
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Prélude
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So, Now?…
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2011
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Sans Bruit
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Bruno ANGELINI / Mauro GARGANO / Fabrice MOREAU
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The Two Lonely People
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So, Now?…
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2011
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Sans Bruit
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Didier LEVALLET Quintet
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O.A.C.
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Songes, Silences
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2011
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Sans Bruit
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Andrea CENTAZZO / Dave BALLOU/ Daniel BARBIERO / Nobu STOWE / Achille SUCCI
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Moon In Winter I
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Moon In Winter
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2011
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Ictus Records
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Andrea CENTAZZO / Dave BALLOU/ Daniel BARBIERO / Nobu STOWE / Achille SUCCI
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Second Winter Duet
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Moon In Winter
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2011
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Ictus Records
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Steve LACY / Kent CARTER / Andrea CENTAZZO
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Bone – Tao 3
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In Concert
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1976
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Ictus Records
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Carlos ZINGARO / Andrea CENTAZZO | The Gipsy – Part 1 | Thirty Years From Monday |
1983
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Ictus Records
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Andrea CENTAZZO / Dave BALLOU/ Daniel BARBIERO / Nobu STOWE / Achille SUCCI | The Man With Foggy Fingers | Moon In Winter |
2011
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Ictus Records
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Zlatko KAUCIC | Song Of Humiliated People | Emigrants |
2011
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Leo Records
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Zlatko KAUCIC | Mikelinica | Emigrants |
2011
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Leo Records
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Archives mensuelles : juin 2011
David S. Ware / Cooper-Moore / William Parker / Muhammad Ali – Planetary Unknown
David S. Ware / Cooper-Moore / William Parker / Muhammad Ali
Planetary Unknown
Aum Fidelity 2011
On attend forcément beaucoup d’un disque comme celui-ci. Parce que David S. Ware est un des grands saxophonistes ténor d’aujourd’hui qui sait ressusciter la magie des grands maîtres d’hier, et qu’entre ses mains le jazz est toujours cette musique qui sait raconter les mystères du monde et les luttes des hommes.
Alors, les premiers instants de nous avoir donné raison d’attendre : le titre qui ouvre ce disque, Passage Wudang, est une saisissante entrée en matière, une infinie chute dans le vide, un vertige musical. Aucune des 24 minutes de ce morceau augural n’est inutile. Chacune de ses étapes reflète les classiques de l’expérience humaine : l’espoir, la déception, l’effort, la tendresse, l’inquiétude, la quête, la colère et l’amour, la paix trouvée…
Ce morceau, à l’aune de ceux qui suivront, est aussi l’incarnation du grand écart opéré par Ware entre les grandes figures (on pense beaucoup à John Coltrane et Booker Ervin pour l’évidence de la formule en quartet et la sonorité énorme en même temps que fébrile du saxophone ténor) et la déconstruction perpétuellement à l’œuvre.
Pour ce Planetary Unknown, David S. Ware s’entoure de trois autres grandes figures de la Great black music pour offrir à l’auditeur un quartet inédit, quoique témoin de nombreux fragments d’histoires communes.
Le pianiste Cooper-Moore, avec qui Ware avait collaboré dès le début des années 70, offre un jeu plus charnel, moins abstrait que Matthew Shipp que l’on a l’habitude de trouver aux côtés du saxophoniste depuis de nombreuses années. Gorgé d’histoire, le piano de Cooper-Moore semble ramener sans cesse Ware à cette question : « Comment faire plier les racines sans les briser ? »
Puis, évoquer William Parker, le compagnon de toujours, si régulièrement excellent qu’on en oublierait presque de le souligner, pertinent, surprenant, jamais là où on l’attend, aussi à l’aise dans la teneur du rythme que dans les contrepoints mélodiques ou encore les encouragements aux échappées belles.
Enfin, Muhammad Ali, qui joua avec Albert Ayler et dont le frère Rashied joua avec Coltrane (l’esprit de leur disque en duo, Instellar Space, souffle sur le duo saxophone / batterie Duality is One qui en serait la réminiscence). Sur toute la longueur du disque, Ali impressionne par son inventivité continuelle, sa capacité à traduire les moindres respirations et bruissements du monde. Comme s’il s’était trop longtemps tu, Muhammad semble tout dire en ce disque sans jamais trop en faire (Divination Unfathomable). En un liminaire coup porté sur la gosse caisse et une cymbale ultimement percutée, Muhammad Ali embrasse les 7 titres qui composent ce disque d’importance, traversé par le courant torrentueux, chantant et changeant de David S.Ware.
Au saxophone ténor (sur les 3 premiers titres), au saxophone sopranino (sur les 3 suivants) et finalement au stritch, Ware semble au fur et à mesure que son instrumentarium gagne en incongruité atteindre l’évidence de son discours singulier.
Historique Andrea
Vendredi 17 juin 2011:
GRAND ANGLE SUR LE PERCUSSIONNISTE ITALIEN ANDREA CENTAZZO
Avec plus de cent disques et milles concerts à son actif, Andrea Centazzo fait figure de personnage incontournable dès lors que l’on se penche de près sur le jazz et les musiques improvisées de ces 35 dernières années. Fondateur du label Ictus, pionnier de la percussion contemporaine, compagnon de Steve Lacy, Evan Parker, Derek Bailey, To Cora ou encore John Zorn, on peut retrouver Andrea Centazzo en solo comme à la tête de grands ensembles, au service de compositions orchestrales comme adepte de l’improvisation la plus libre !
Playlist du 10 juin 2011
PLAYLIST DU 10 JUIN 2011 |
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Artiste
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Titre
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Source
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Année
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Label
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MAÏKOTRON UNIT
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Hiems
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Ex Voto
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2011
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Jazz From Rant
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MAÏKOTRON UNIT
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Ab Hora
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Ex Voto
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2011
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Jazz From Rant
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François CARRIER Trio + 1
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All’Alba
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Entrance 3
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2011
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Ayler Records
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John TAYLOR / Stéphane KERECKI
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La Source
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Patience
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2011
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Zig Zag Territoires
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Pandelis KARAYORGIS Quintet
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Curt’s Escape
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System Of 5
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2011
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Hatology
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ASTULA DEMOCRATICA
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In Natura
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Illusio
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2011
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Rhizome Records
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Bruno DUPLANT / Paulo CHAGAS / Lee NOYES | Mumble | As Birds |
2011
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Re: konstrukt
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Phil HARGREAVES / Lee NOYES / Bruno DUPLANT | Porter Attention à ce qui va Suivre | Malachi |
2009
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Insubordinations
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Bruno DUPLANT / Paulo CHAGAS / David SAIT | Late Winter | Late Winter Early Spring |
2011
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Audio Tong
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Bruno Duplant et ses frémissements
Vendredi 10 juin 2011 : HISTOIRE(S) ET ACTUALITE DU JAZZ
+ FOCUS SUR LE CONTREBASSISTE FRANCAIS BRUNO DUPLANT
La musique de Bruno Duplant oscille entre une musique de chambre traversée par des courants d’air, qui insufflent aux notes de curieuses trajectoires, et un jazz libre et tendre qui prend son temps. Avec ce contrebassiste, l’attention est portée sur les timbres et les frémissements, ainsi que la recherche d’un fragile équilibre, d’une musique sur le fil. Il s’agit avec Bruno Duplant et ses compagnons (les souffleurs Phil Hargreaves et Paulo Chagas, le batteur Lee Noyes), de tenir le jazz à distance mais de rester en son champ, de rester exigent en même temps qu’accessible, dans la grande tradition des « passeurs » (Eric Dolphy, Mal Waldron…) des années 60.
Bruno Duplant / Paulo Chagas / Lee Noyes – As Birds
Bruno Duplant / Paulo Chagas / Lee Noyes
As Birds
re :konstrukt – 2011
Les oiseaux, tels de petits architectes, construisent minutieusement des édifices aux infinies variations. Il en va de même pour cette musique.
Les oiseaux, chanteurs infatigables, nous rapprochent des mystères du monde. Il en va de même pour ces musiciens.
Le vent des saxophones et des clarinettes, le bois de la contrebasse, les peaux des tambours se combinent dans ce disque en 18 morceaux, tous emprunts de quiétude et de limpidité, tous épris de liberté. 18 morceaux, en trio ou en duo, comme autant de propositions d’un même chant « au naturel », d’abord dominé par la chaleur et la légèreté du souffle de Paulo Chagas. Puis, au fur et à mesure de l’écoute (des écoutes), la contrebasse de Bruno Duplant et la batterie de Lee Noyes font surgir de précieux contrepoints, d’inattendus miroitements.
La musique qui nous est offerte sur « As birds » oscille entre une musique de chambre traversée par des courants d’air, qui insufflent aux notes de curieuses trajectoires, et un jazz libre et tendre qui prend son temps. Ici l’attention est portée sur les timbres et les frémissements (Fallen tips, duo tout en nuances entre Chagas et Duplant ou encore Mumble, où les graves de la clarinette et des cordées frottées à l’archet se mêlent au crépitement des percussions).
Si vous aviez croisé la route de Malachi (disque gravé en 2009 par Duplant, Noyes et Phil Hargreaves sur le label Insubordinations), et que vous l’aviez aimé, allez à la rencontre de « As birds ». Pour ceci, laissez le vent vous porter, tendez l’oreille… les trois musiciens ne seront jamais loin. Un seul regret, peut être : le label re:konstrukt ne propose ce disque qu’en téléchargement. Mais, à la réflexion : peut on étreindre le courant, arrêter le cours du temps ?
Les voyages de Stephan Micus
Vendredi 3 juin 2011: AUTOUR DES DERNIERES PARUTIONS DU LABEL ECM
+ FOCUS SUR LE MULTI-INSTRUMENTISTE ALLEMAND STEPHAN MICUS
Depuis 1969, le label allemand ECM, fondé par le contrebassiste Manfred Eicher, imprime dans le monde du jazz son empreinte originale (une prise de son reconnaissable entre toutes, ainsi qu’un répertoire qui s’étend du jazz à la musique contemporaine, en passant par les musiques du monde). La première partie de l’émission s’attardera sur les dernières parutions du label qui reflètent bien cette diversité. Le all star américain Haden / Konitz / Meldhau / Motian côtoie le quintet de la harpiste finlandaise Iro Haarla, l’hommage au cinéaste Tarkovsky par le pianiste François Couturier se mêle à la musique nomade et inclassable du multi-instrumentiste Stephan Micus. Micus (luths, flûtes, percussions du monde entier) qui, avec son dernier opus paru sur ECM « Bold as light », fera l’objet de la seconde partie de cette émission.