Focus sur le disque Invitation de Siegfried Kessler et sur d’autres parutions des disques Futura et Marge

 

Gérard Terronès, producteur des disques Futura et Marge

Gérard Terronès, producteur des disques Futura et Marge

 

Depuis plus de 40 ans, le producteur Gérard Terronès anime les disques Futura et Marge. En même temps que des nouveautés paraissent, sont régulièrement rééditées les références historiques des labels de Terronès (Futura, Marge, Impro, etc.). Récemment, parmi ces fameuses « réappros » fut proposé le disque « Invitation » du pianiste Siegfried Kessler, à la tête de son trio composé de Jean-François Jenny-Clark à la contrebasse et Clifford Jarvis à la batterie, et avec comme invité sur deux titres son complice Archie Shepp.

Invitation, cet album le sera à plonger dans le catalogue des disques Futura et Marge…

 

 

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2ème émission de janvier 2014 (du 13 au 19 janvier 2014)

kessler invitation

FOCUS sur le disque INVITATION de SIEGFRIED KESSLER TRIO featuring ARCHIE SHEPP (1979)

Depuis plus de 40 ans, le producteur Gérard Terronès anime les disques Futura et Marge. En même temps que des nouveautés paraissent, sont régulièrement rééditées les références historiques des labels de Terronès (Futura, Marge, Impro, etc.). Récemment, parmi ces fameuses « réappros » fut proposé le disque « Invitation » du pianiste Siegfried Kessler, à la tête de son trio composé de Jean-François Jenny-Clark à la contrebasse et Clifford Jarvis à la batterie, et avec comme invité sur deux titres son complice Archie Shepp.

Invitation, cet album le sera à plonger dans le catalogue des disques Futura et Marge…

 

BILLY HARPER. THE AWAKENING (Marge 1979)

The Awakening – 7’55 »

SIEFRIED KESSLER TRIO. INVITATION (Impro 1979)

Along Came Betty – 4’30 »

ARCHIE SHEPP QUARTET. LIVE AT TOTEM VOL. 1 (Marge 1979)

You Don’t Know What Love Is – 11’15 »

JACQUES THOLLOT. QUAND LE SON DEVIENT AIGU, JETER LA GIRAFE A LA MER (Futura 1971)

Cécile – 3’50 »

JAKI BYARD. PARISIAN SOLOS (Futura Swing 1971)

Besame Mucho – 4’10 »

FREDDIE REDD. UNDER PARIS SKIES (Futura Swing 1971)

My God Is Love – 3’45 »

HAL SINGER. BLUES AND NEWS (Futura Swing 1971)

Du Bois – 7’00 »

HAL SINGER. CHALLENGE – w/ David Murray (Marge 2010)

Long March To Freedom – 7’55 »

 

Sonny Rollins, sur le pont de Williamsburg

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Entre la fin des années 40 et la fin des années 50, Sonny Rollins deviendra le plus grand saxophoniste ténor de sa génération. Synthétisant les héritages de Lester Young et Coleman Hawkins, Sonny Rollins joue beaucoup, avec tout le monde, en toutes configurations. Rien ne semble lui résiste et tout lui réussir. La prison et la drogue ne freineront pas cette irrésistible ascension. Pourtant, en 1959, en proie à de nombreux doutes, déstabilisé par les personnalités profondément originales de John Coltrane et Ornette Coleman et l’émergence du free jazz, Sonny Rollins décide de se retirer de la scène musicale. Ce sera sa première pause, la plus célèbre. Deux ans de doute. Des heures à jouer, seul, sous le pont Williamsburg Bridge à New-York. À son retour sur la scène jazz en 1962, il publie enfin un nouveau disque, celui de la renaissance : The Bridge.

 

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1ère émission de janvier 2014 (du 6 au 12 janvier 2014)

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SONNY ROLLINS, SUR LE PONT DE WILLIAMSBURG

Entre la fin des années 40 et la fin des années 50, Sonny Rollins deviendra le plus grand saxophoniste ténor de sa génération. Synthétisant les héritages de Lester Young et Coleman Hawkins, Sonny Rollins joue beaucoup, avec tout le monde, en toutes configurations. Rien ne semble lui résiste et tout lui réussir. La prison et la drogue ne freineront pas cette irrésistible ascension. Pourtant, en 1959, en proie à de nombreux doutes, déstabilisé par les personnalités profondément originales de John Coltrane et Ornette Coleman et l’émergence du free jazz, Sonny Rollins décide de se retirer de la scène musicale. Ce sera sa première pause, la plus célèbre. Deux ans de doute. Des heures à jouer, seul, sous le pont Williamsburg Bridge à New-York. À son retour sur la scène jazz en 1962, il publie enfin un nouveau disque, celui de la renaissance : The Bridge.

 

SONNY ROLLINS. SAXOPHONE COLOSSUS (Prestige 1956)

Saint Thomas – 6’50’’

SONNY ROLLINS. WAY OUT WEST (Contemporary 1957)

I’m An Old Cowhand – 5’40’’

SONNY ROLLINS. A NIGHT AT THE VILLAGE VANGUARD (Blue Note 1957)

Softly As In A Morning Sunrise – 6’30’’

SONNY ROLLINS. FREEDOM SUITE (Riverside 1958)

Shadow Waltz – 4’15’’

SONNY ROLLINS. THE BRIDGE (RCA Victor 1962)

God Bless The Child – 7’25’’

SONNY ROLLINS. OUR MAN IN JAZZ (RCA Victor 1962)

If I Could Write A Book – 3’15’’

SONNY ROLLINS. WHAT’S NEW (RCA Victor 1962)

Bluesongo – 4’40’’

SONNY ROLLINS & COLEMAN HAWKINS. SONNY MEETS HAWKS! (RAC Victor 1963)

Yersterdays – 5’10’’

 

Grand angle sur le percussionniste Denis Fournier

denis fournier

 

Denis Fournier est un de ces musiciens qui semble suivre obstinément son propre et singulier chemin, tout en prenant soin de s’exposer aux quatre vents. La mémoire du jazz semble chez lui aussi importante que sa volonté de le dépasser. Autour de la batterie de Denis Fournier, « Sophistiquée et primale, percussive et musicale » telle que put la caractériser Thierry Quenum dans Jazz Magazine, on retrouve indéfectiblement une garde rapprochée de fidèles, sensibles aventureux, qui partagent avec lui l’amour de Mingus et de l’Art Ensemble of Chicago, l’amour d’une musique libre mais reliée au monde, affranchie mais à la mémoire longue, attachée à l’histoire du jazz mais imprévisible…

 

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3ème émission de décembre 2013 (du 16 au 22 décembre 2013)

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Denis Fournier est un de ces musiciens qui semble suivre obstinément son propre et singulier chemin, tout en prenant soin de s’exposer aux quatre vents. La mémoire du jazz semble chez lui aussi importante que sa volonté de le dépasser. Autour de la batterie de Denis Fournier, « Sophistiquée et primale, percussive et musicale » telle que put la caractériser Thierry Quenum dans Jazz Magazine, on retrouve indéfectiblement une garde rapprochée de fidèles, sensibles aventureux, avec partagent avec lui l’amour de Mingus et de l’Art Ensemble of Chicago, l’amour d’une musique libre mais reliée au monde, affranchie mais à la mémoire longue, attachée à l’histoire du jazz mais imprévisible. La musique chez Fournier est poésie et discours ; la musique est vision.

 

DENIS FOURNIER 4TET+. LA CONFERENCE DES OISEAUX (Rude Awakening 2010)

Crissement d’Aile – 2’30’’

DENIS FOURNIER TRIO. CHAGARANDAH (Vent du Sud 2000)

Fado Bailado – 6’35’’

DENIS FOURNIER /PHILIPPE DESCHEPPER / GUILLAUME SEGURON. TOTA LA VERTAT (Emouvance 2004)

Tota la vertat (part 1) – 3’55’’

Marcher sur la lune (part 3) – 1’00’’

DENIS FOURNIER 4TET+. LIFE VEST UNDER YOUR SEAT (AJMI Séries 2005)

Dannie Richmond – 6’00’’

DENIS FOURNIER 4TET+. LA CONFERENCE DES OISEAUX (Rude Awakening 2010)

Esprit Céleste – 5’20’’

DENIS FOURNIER « PERCUSSIONS PROFILES ». LE MYSTERE DE LA PYRAMIDE (Vent du Sud 2012)

Le Mystère de la Pyramide – 3’00’’

DENIS FOURNIER « WATERSHED ». WATERSHED » (Rogue Art 2012)

Prayer For Wadud – 6’45’’

DENIS FOURNIER. PAYSAGE DE FANTAISIE (Vent du Sud 2013)

Lamento – 2’40 »

Conversatoire – 4’30 »

DENIS FOURNIER TRIO. CHAGARANDAH (Vent du Sud 2000)

Ted Lardus, le prophète – 3’45’’’

 

 

Focus sur le disque Navajo Sunrise de Daniel Carter / William Parker / Federico Ughi (Rudi 2013)

« Le phrasé de Daniel Carter se meut naturellement entre la contrebasse terrienne de Parker et les frappes sensibles de Ughi. La musique du trio semble être possédée par une lumière et un esprit accueillant. » Fabrizio Spera
La parution de ce disque Navajo Sunrise fut l’occasion de prendre (enfin) le temps de diffuser la musique du trop rare et très précieux saxophoniste Daniel Carter.

 

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2ème émission de décembre 2013 (du 9 au 15 décembre 2013)

navajo sunrise

Focus sur le disque NAVAJO SUNRISE de DANIEL CARTER / WILLIAM PARKER / FEDERICO UGHI (Rudi 2013)
« Le phrasé de Daniel Carter se meut naturellement entre la contrebasse terrienne de Parker et les frappes sensibles de Ughi. La musique du trio semble être possédée par une lumière et un esprit accueillant. » Fabrizio Spera
La parution de ce disque Navajo Sunrise fut l’occasion de prendre (enfin) le temps de diffuser la musique du trop rare et très précieux saxophoniste Daniel Carter.

 

ERI YAMAMOTO. DUOLOGUE (Aum Fidelity 2008)

Conversation (w/ Daniel Carter) (4’25’’)

OTHER DIMENSIONS IN MUSIC. LIVE AT THE SUNSET (Marge 2007)

Hip Bop (5’00’’)

WILLIAM PARKER with ROY CAMPBELL, DANIEL CARTER & ALAN SILVA. FRACTURED DIMENSIONS (FMP 2003)

Eternal Flower (3’30’’)

WILLIAM PARKER TRIO. PAINTER’S SPRING (Thirsty Ear 2000)

Blues for Percy (5’25’’)

OTHER DIMENSIONS IN MUSIC. KAISO STORIES (Silkheart 2011)

De Night A De Wake (6’45’’)

DANIEL CARTER, WILLIAM PARKER, FEDERICO UGHI. NAVAJO SUNRISE (Rudi 2013)

Turning Waters (3’55’’)

DANIEL CARTER, WILLIAM PARKER, FEDERICO UGHI. NAVAJO SUNRISE (Rudi 2013)

Gather Up (5’45’’)

ADAM LANE TRIO. ABSOLUTE HORIZON (NoBusiness 2013)

Absolute Horizon (8’55’’)

DARIUS JONES TRIO. MAN’ISH BOY (Aum Fidelity 2009)

Forgive Me (5’45’’)

 

Focus sur le disque Anti Rubber Brain Factory & Hmadcha

Présente dans tout le Maroc, la confrérie des Hmadcha s’inscrit dans la tradition du soufisme populaire, et sont détenteurs de la précieuse science de la transe. Avec certains de ses membres, les musiciens de Anti Rubber Band Factory ont lors d’un concert donné à Essaouira revisité le « Rituel de la Hadra (présence) ».

L’évocation de ce très beau disque fut le point d’orgue d’une émission qui arpenta le continent africain.

 

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1ère émission de décembre 2013 (du 2 au 8 décembre 2013)

arbf

 

Focus sur le disque ANTI RUBBER BRAIN FACTORY & HMADCHA  « LIVE AT ESSAOUIRA» (ARBF 2013)

Présente dans tout le Maroc, la confrérie des Hmadcha s’inscrit dans la tradition du soufisme populaire, et sont détenteurs de la précieuse science de la transe. Avec certains de ses membres, les musiciens de Anti Rubber Band Factory ont lors d’un concert donné à Essaouira revisité le « Rituel de la Hadra (présence) ».

L’évocation de ce très beau disque fut le point d’orgue d’une émission qui arpenta le continent africain.

 

KEITH JARRETT. NO END (ECM 1986/2013)

Part XI – 4’05’’

WILLIAM PARKER / JOE MORRIS / HAMID DRAKE. ELOPING WITH THE SUN (Riti records 2002)

Sand Choir (extrait) – 4’00’’

WILLIAM PARKER & HAMID DRAKE. SUMMER SNOW (Aum Fidelity 2007)

Earth – 3’00’’

WILLIAM PARKER. LONG HIDDEN: THE OLMEC SERIES (Aum Fidelity 2006)

Long Hidden Part Three – 3’10’’

ART BLAKEY & THE AFRO-DRUM ENSEMBLE. THE AFRICAN BEAT (Blue Note 1962)

Love, The Mistery Of – 9’20’’

KARL BERGER & EDWARD BLACKWELL. JUST PLAY (Quark 1979 – Emanem 2000)

Wood And Skin Works – 12’20’’

ANTI RUBBER BRAIN FACTORY & HMADCHA. LIVE AT ESSAOUIRA (ARBF 2013)

Ezzahrawouiya – 8’15’’

ANTI RUBBER BRAIN FACTORY & HMADCHA. LIVE AT ESSAOUIRA (ARBF 2013)

Aïta – 3’50’’