Un jeune saxophoniste, James Brandon Lewis, s’entoure de deux grands vétérans, William Parker (contrebasse) et Gerald Cleaver (batterie) pour signer un beau disque de jazz qui s’abreuve tant aux sources de la spiritualité (les negro spirituals) qu’à celles de la rébellion (le free jazz), sans oublier de puiser dans le hard bop et la poésie beat en une musique – synthèse, déclaration d’amour à un siècle de musique africaine américaine.
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