2ème émission d’avril 2014 (du 7 au 13 avril 2014)

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Grand Angle sur l’exposition GREAT BLACK MUSIC (Cité de la Musique du 11 mars au 24 août 2014) – 2ème partie

De la foisonnante exposition de la Cité de la Musique consacrée à toutes les musiques noires, Jazz A Part se concentrera en cette seconde de deux émissions sur quelques épisodes forts du fil historique mis en lumière dans l’expo (2500 av JC : Pyramide Egyptienne ; 350 : Empire du Ghana ; 1718 : La Nouvelle Orleans; 1804: Haïti ; 1850: Underground Railroad ; 1917 : Révolution russe ; 1955 : Bandung ; 1963 : Martin Luther King ; 2005: Katrina)

 

SUN RA & HIS ARKESTRA. SUPER-SONIC JAZZ (Saturn 1956)

Medicine for a nightmare (3’50’’)

JOHN CARTER. CASTLES OF  GHANA (Grammavision 1986)

Theme of desperation (4’50’’)

ANDREW LAMB TRIO. NEW ORLEANS TRIO (Engine 2006)

Song of the miracle lives (8’45’’)

CHARLES MINGUS. THE CLOWN (Atlantic 1957)

Haitian fight song (12’00’’)

LANGSTON HUGHES. WEARY BLUES (MGM 1958)

Hey (night) – too blue – ballad of the fortune teller (3’10’’)

JOHN COLTRANE QUARTET. THE COMPLETE AFRICA / BRASS SESSIONS (Impulse 1961 / reed. 1995)

 Song of the underground railroad (6’40’’)

MAX ROACH. CHATTAHOOCHEE RED (Columbia 1981)

The dream – It’s time (extrait 3’20’’)

 

 

Grand Angle sur l’exposition Great Black Music – Partie I

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A partir de la foisonnante exposition de la Cité de la Musique consacrée à toutes les musiques noires (11 mars au 24 août 2014), intitulée « Great Black Music », Jazz A Part se concentrait en cette première de deux émissions sur six voix témoins (John Coltrane, Miriam Makeba, George Lewis, Joseph Jarman et l’Art Ensemble of Chicago, Duke Ellington, Billie Holiday).

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1ère émission d’avril 2014 (31 mars au 6 avril 2014)

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Grand Angle sur l’exposition GREAT BLACK MUSIC (Cité de la Musique du 11 mars au 24 août 2014) – 1ère partie

De la foisonnante exposition de la Cité de la Musique consacrée à toutes les musiques noires, Jazz A Part se concentrera en cette première de deux émissions sur six voix (John Coltrane, Miriam Makeba, George Lewis, Joseph Jarman et l’Art Ensemble of Chicago, Duke Ellington, Billie Holiday)

ART ENSEMBLE OF CHICAGO. Odwalla Theme – 5’05’’

Coming Home Jamïca, Atlantic, 1998

DUKE ELLINGTON. Black, Brown and Beige Part II – 6’15’’

Black, Brown and Beige, Columbia, 1956

BILLIE HOLIDAY. Strange Fruit – 2’40’’

Commodore Master Takes 1939 -1944, Commodore

MIRIAM MAKEBA. Umhome – 2’55’’

The World Of Miriam Makeba, RCA Victor, 1963

JOHN COLTRANE. Lonnie’s Lament – 11’45’’

Crescent, Impulse, 1964

JOHN ZORN / GEORGE LEWIS / BILL FRISELL. Blues, blues, blues – 4’15’’

News For Lulu, Hatology , 1988

ART ENSEMBLE OF CHICAGO. Prayer For Jimbo Kwesi – 9’45’’

The Third Decade, ECM, 1984

 

Programme d’avril 2014

Qu’il soit classique, contemporain, mystique, engagé, libre, en colère, en paix, nomade, curieux… le jazz est l’invité de Jazz A Part sur 7 stations de radios francophones.

Émissions en écoute et podcast après le direct sur http://jazzapart.free.fr

HDR (99.1 Rouen – vendredi 20h)  / Principe Actif (102.4 Evreux – vendredi 20h) / RTF (95.4 Limoges– jeudi 21h) / L’autre radio (107.9 Château-Gontier – mardi 19h) / Radio Résonance (96.9 Bourges – dimanche 21h30) / YouFM (106.9 Mons – dimanche 22h00) / Campus Toulouse (94.0 Toulouse – samedi 12h00)

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Première semaine (31 mars au 6 avril 2014) et deuxième semaine (7 au 13 avril 2014)

Grand Angle sur l’exposition GREAT BLACK MUSIC (Cité de la Musique du 11 mars au 24 août 2014)

De la foisonnante exposition de la Cité de la Musique consacrée à toutes les musiques noires, Jazz A Part se concentrera (parce qu’il faut bien…) sur :

- La Great Black Music, noire et universelle, à travers six voix (John Coltrane, Miriam Makeba, George Lewis, Joseph Jarman et l’Art Ensemble of Chicago, Duke Ellington, Billie Holiday) – 1ère partie

- Quelques dates emblématiques du fil historique des musiques noires – 2ème partie

 

Troisième semaine (14 au 20 avril 2014)

Focus sur le disque SAD AND BEAUTIFUL de EMLER / TCHAMITCHIAN / ECHAMPARD (Label La Buissonne 2013)

Ce trio « issu », si l’on peut dire, du Megaoctet a pour lui l’avantage de la connivence. La maturité et l’assemblage, patiemment élaborés au fil des concerts, donnent ici sa cohérence à une musique hors du temps. On y retrouve l’énergie rock débridée et les thèmes fracassants du MegaOctet, le temps suspendu des solos d’Emler, la nostalgie lumineuse de l’univers de Tchamitchian, la précision classique d’Echampard. Et à chaque instant, cette force olympienne du silence. Un silence qui se glisse entre les notes, précède les attaques et ponctue les phrases. Un silence en or. (Matthieu Jouan / Citizen Jazz)

 

Quatrième semaine (21 au 27 avril 2014)

Focus sur le disque JOHN COLTRANE – A LOVE SUPREME de DAL SASSO / BELMONDO BIG BAND (Jazz & People 2014)

A Love Supreme, l’album de studio que Coltrane enregistre en quartette (avec McCoy Tyner au piano, Jimmy Garrison à la contrebasse et Elvin Jones à la batterie), marque en 1964 un tournant à bien des égards. Musicalement, le saxophoniste pousse l’improvisation modale jusqu’aux limites où elle tend vers le free. Mais le disque est aussi un jalon par sa quête d’une spiritualité qui s’exprime notamment dans un poème écrit par Coltrane, sorte d’invocation qu’il traduit en une prière sans mots au saxophone. C’est cette grande page de l’histoire du jazz moderne que revisite le big band all stars codirigé par Lionel Belmondo et Christophe Dal Sasso. 1964-2014 : c’était il y a cinquante ans.

 

Focus sur le disque ST JAMES INFIRMARY de BENJAMIN DUBOC (Improvising Beings 2014)

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En avril 2013, à Bignac, dans l’église Saint Martin, Benjamin Duboc jouait deux longs morceaux de 20 minutes, tels deux poumons qui inspirèrent / expirèrent la belle respiration du jazz. Le traditionnel Saint James Infirmary Blues, que popularisait Armstrong à la fin des années 20 précède Saint-Martin, composition de Benjamin Duboc lui-même. Du blues joué aux Etats Unis il y a un siècle à ce qui se joue ici et maintenant sous les doigts de Duboc, il n’y a qu’un souffle.

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4ème émission de mars 2014

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Focus sur le disque ST JAMES INFIRMARY de BENJAMIN DUBOC (Improvising Beings 2014)

En avril 2013, à Bignac, dans l’église Saint Martin, Benjamin Duboc jouait deux longs morceaux de 20 minutes, tels deux poumons qui inspirèrent / expirèrent la belle respiration du jazz. Le traditionnel Saint James Infirmary Blues, que popularisait Armstrong à la fin des années 20 précède Saint-Martin, composition de Benjamin Duboc lui-même. Du blues joué aux Etats Unis il y a un siècle à ce qui se joue ici et maintenant sous les doigts de Duboc, il n’y a qu’un souffle.

 

FRANCOIS LEMONNIER & RAPAHAËL LEMONNIER. COME AGAIN (Blue Marge 2013)

Saint James Infirmary Blues – 5’25’’

BENJAMIN DUBOC. ST. JAMES INFIRMARY (Improvising Beings 2014)

St. James Infirmary Blues – 20’05’’

BENJAMIN DUBOC & ITARU OKI. NOBUSIKO (Improvising Beings 2010)

Yamabusi – 3’30’’

ITARU OKI. CHORUI ZUKAN (Improvising Beings 2014)

‘Round Midnight – 3’25’’

DAUNIK LAZRO & JOËLLE LEANDRE. HASPARREN (NoBusiness records 2014)

Hasparren I – 4’55’’

JOËLLE LEANDRE. LIVE IN ISRAEL (Kadima Collective 2008)

Duo with Sameer Makhoul – 8’10’’

 

Focus sur le disque « Mukashi » de Abdullah Ibrahim

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Cette année, Abdullah Ibrahim (que l’on appelait il y a très très longtemps Dollar Brand) aura 80 ans. Ce pianiste, également flûtiste et saxophoniste soprano, n’a pourtant pas encore tout dit. Depuis quelques années il sort de beaux disques sur le label allemand Intuition. Du dernier en date, Mukashi, Philippe Méziat put écrire : « Cette musique a conservé une force peu commune, et s’instille dans votre vie de façon à y laisser quelque chose d’indélébile. En même temps, elle ne s’impose par aucune tentation virtuose ou grandiloquente. »

 

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3ème émission de mars 2014 (du 17 au 23 mars 2014)

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Focus sur le disque MUKASHI de ABDULLAH IBRAHIM (Intuition 2013)

Cette année, Abdullah Ibrahim (que l’on appelait il y a très très longtemps Dollar Brand) aura 80 ans. Ce pianiste, également flûtiste et saxophoniste soprano, n’a pourtant pas encore tout dit. Depuis quelques années il sort de beaux disques sur le label allemand Intuition. Du dernier en date, Mukashi, Philippe Méziat put écrire : « Cette musique a conservé une force peu commune, et s’instille dans votre vie de façon à y laisser quelque chose d’indélébile. En même temps, elle ne s’impose par aucune tentation virtuose ou grandiloquente. »

 

DOLLAR BRAND DUO. GOOD NEWS FROM AFRICA (Enja 1973)
Msunduza – 4’30’’
ARCHIE SHEPP & DOLLAR BRAND. DUET (Denon 1978)
Left Alone – 7’55’’
ABDULLAH IBRAHIM – JOHNNY DYANI. ECHOES FROM AFRICA (Enja 1979)
Saud – 5’35’’
ABDULLAH IBRAHIM. BANYANA (Enja 1976)
Ishmael – 6’10’’
ABDULLAH IBRAHIM & WDR BIG BAND COLOGNE. BOMBELLA (Intuition 2009)
For Lawrence Brown (Remembrance) – 2’50’’
ABDULLAH IBRAHIM & EKAYA. SOTHO BLUE (Intuition 2010)
Calypso Minor – 6’20’’
ABDULLAH IBRAHIM. MUKASHI (Intuition 2013)
Mukashi – 0’55’’
ABDULLAH IBRAHIM. MUKASHI (Intuition 2013)
Mississippi – 4’35’’
ABDULLAH IBRAHIM. MUKASHI (Intuition 2013)
Serenity – 3’55’’
ABDULLAH IBRAHIM. MUKASHI (Intuition 2013)
Essence (Ishmael) – 2’10’’

Grand angle sur le contrebassiste François Grillot

françois grillot

Contrebassiste français, François Grillot depuis les années 80 vit à New York, et lance ses lignes en eaux mouvementées. Il joue avec les musiciens vifs de la ville, tels Matt Lavelle (trompette), Catherine Sikora (saxophone), Daniel Carter (sax, flûte, etc.) ou encore Giuseppi Logan (saxophone). Certains de ses disques furent enregistrés chez lui dans son appartement de Hell’s Kitchen, dans sa cuisine justement, où se côtoient frigo, évier et batterie et micros. L’esprit aventureux du free est partout dans la musique de François Grillot, quand rythmes et mélodies continuent de tracer la voie.

 

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